Courts-métrages

Plutôt que court-métrage, le terme consacré, je préfère « mini-films » ou l’art de raconter une histoire courte mais aussi forte et intense qu’un long-métrage. Chacun de mes films ou projets en cours, est une bouteille à la mer. Avant de la lancer, je l’ai remplie de questions que je voudrais partager avec les spectateurs, leur laissant le choix de l’attraper et de l’ouvrir pour, peut-être trouver des réponses. Blessures d’adolescence, illettrisme, migration… Je tente de broder avec délicatesse ces thèmes sociaux sur la toile cinématographique.

Sur le tournage de Il n’est pas nécessaire de le dire au enfants.